Paris - Mars 2012 - avec Léa - AlX
a-contre-courant
Perdue au hasard des mots.
Lundi 23 avril 2012 à 22:04
Paris - Mars 2012 - avec Léa - AlX
Lundi 16 avril 2012 à 19:46
y avait tant de
choses à faire.
C'est marrant
qu'il ne l'ait
pas crue. C'eut
été plus simple.
Lundi 6 février 2012 à 23:39
Et nous sommes.
Et celà à de bon que l'on peut espérer que demain sera aussi.
Que nous serons encore.
Que notre utopie vivra.
Que nous aurons les mots pour la dire, encore et sans cesse.
Aujourd'hui et demain c'est bien tout ce qui compte.
Se lever, se coucher, et recommencer.
Et que celà est du sens.
Et que celà sente bon.
Et que toujours ses yeux sourient.
Toujours aujourd'hui.
Comme si demain, n'avait d'autre attrait que de n'être une surprise.
Ici et là. Aujourd'hui et demain.
Mardi 24 janvier 2012 à 12:22
On a les yeux du coeur qui dorment en silence.
Mercredi 18 janvier 2012 à 15:40
il compris
Les sens et les erreurs
Les pleins et les vides
Les lendemains vides
Les histoires à reculons.
Il déchiffra de mains de maître,
il compris
Les absences et les trous noirs
Les ivresses oubliées
Les insouciantes nuits
L'absence des larmes.
Il déchiffra de mains de maître,
il compris
La rage dans son corps, si petit
Les pluies sur les montagnes
Les passions endolories
Les brûlures.
Il déchiffra de mains de maître,
il compris
Les égarés
Les faciles égarements
Les déboires enfantins
Les ignobles absences.
Lundi 26 décembre 2011 à 18:06
Deux jours.
Et tant de temps.
Le temps qu'il faudrait oublier.
Qu'il faudrait agenouiller, pour qu'enfin il se taise, et nous laisse la vie sauve.
Pour qu'il nous lorgne d'en bas et nous donne enfin raison, à nous, d'avoir accepté si longtemps d'avoir eu tord.
Sans fléchir lui poser l'épée sur l'épaule. Et ainsi le faire attendre.
De longues heures.
Un jour.
Deux.
Mardi 13 décembre 2011 à 21:45
Ne me touche pas.
Ou bien le contraire.
Mélange-moi.
Fais la nuit dans ma tête.
Qu'enfin tout se taise.
Qu'enfin tout se taise.
Qu'il n'y est plus rien autour.
Et les jours faciles.
Evidence adorée.
Dimanche 9 octobre 2011 à 19:10
Mardi 2 août 2011 à 21:58
Bidoches inapropriées
Infirmes manouches
Boursicotant deux sous Jurant tous les dieux que jamais ne viendra le temps des vivants
Qu'il y a ailleurs, au dessus des ivrognes affamés
De menus larcins
Fanés avant la rose.
Comme si plus rien
Jamais
Ne leur promettais d'exister.
Pasteurs agards au creu des livres Etranglés monotones
Enfermés dans leurs vocalises sanglantes
Terrifiantes morsures.
Sordides pêcheurs venus de l'histoire du désert oublié
Rien ni personne n'y peut
Ils sont dévorés par les manches de leurs casseroles.
Jamais plus il n'y aura d'ouragan On a même pas le temps
Ce serait déluge de mauvaises orties
De bizareries grotesques
Les mur fumeraient d'inaler
Les hommes rêveraient d'iradier
A moins que...
L'inverse ...
Sublime tondeuse brûlant les pluies
Au hasard...
Sans jamais prétendre
Il faudrait surprendre S'esbaudir, psalmodier, récapituler.
J'en tiens une
Jeudi 28 juillet 2011 à 22:29
Se laisser avoir
Se laisser prendre
Et rien donner en échange rien
Ne pas avoir la force pour plus
Faire semblant que ça nous va bien
Y croire même.
Y croire plus qu'à tout le reste.
Avoir la force de s'inventer les histoires qu'on aurait voulu
Ne plus avoir la force
Plus aucune force
Lacher prise et comprendre enfin
Pleurer, pleurer.
Aimer sans comprendre
On c'est aimés c'est sûr
En se faisant mal
En se marchant dessus
L'un sur l'autre sans faire attention
A rien d'autre qu'au plaisir
Mais pas celui de l'autre.
Chacun le sien
En ligne droite et sans regarder
ça fait mal putin c'que ça fait mal de tomber
Ne pas oublier
Ne rien oublier
De ce qui a été beau
Forcément beau.
ce qui a existé
Les faits, les poussières arides sur le sol nu
Les brulures au corps
Les caresses amoureuses.
<< Avant