On crée de menus larcins
Bidoches inapropriées
Infirmes manouches
Boursicotant deux sous Jurant tous les dieux que jamais ne viendra le temps des vivants
Qu'il y a ailleurs, au dessus des ivrognes affamés
De menus larcins
Fanés avant la rose.
Comme si plus rien
Jamais
Ne leur promettais d'exister.
Pasteurs agards au creu des livres Etranglés monotones
Enfermés dans leurs vocalises sanglantes
Terrifiantes morsures.
Sordides pêcheurs venus de l'histoire du désert oublié
Rien ni personne n'y peut
Ils sont dévorés par les manches de leurs casseroles.
Jamais plus il n'y aura d'ouragan On a même pas le temps
Ce serait déluge de mauvaises orties
De bizareries grotesques
Les mur fumeraient d'inaler
Les hommes rêveraient d'iradier
A moins que...
L'inverse ...
Sublime tondeuse brûlant les pluies
Au hasard...
Sans jamais prétendre
Il faudrait surprendre S'esbaudir, psalmodier, récapituler.
J'en tiens une
a-contre-courant
Perdue au hasard des mots.
Mardi 2 août 2011 à 21:58
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<< Avant
Et que j'ai trouvé que ton écriture était plein de petites étincelles géniales...