Ils ont joué à la corde à sauter.
Ils ont joué, ils ont joué.
Ils ont joué à la corde à sauter.
Ils ont joué à la corde à sauter.
Ils ont joué à la corde à sauter.
Ils ont joué à la corde à sauter.
Ils ont joué, ils ont joui, ils ont joui.
a-contre-courant
Perdue au hasard des mots.
Mercredi 2 mai 2012 à 12:53
Ils ont joué à la corde à sauter.
Ils ont joué, ils ont joué.
Ils ont joué à la corde à sauter.
Ils ont joué à la corde à sauter.
Ils ont joué à la corde à sauter.
Ils ont joué à la corde à sauter.
Ils ont joué, ils ont joui, ils ont joui.
Mardi 13 mars 2012 à 12:26
"Là,
seule la poésie offre une issue :
celle d'une irrégularité,
d'un interstice,
d'une lacune
à partir de laquelle rebatir
la conscience comme doute ultime."
seule la poésie offre une issue :
celle d'une irrégularité,
d'un interstice,
d'une lacune
à partir de laquelle rebatir
la conscience comme doute ultime."
michel draguet
Et si l'ennuie voue guête, samedi 17, nous on expose au Forum national des initiatives jeunes ... > De deux choses l'une
Et si l'ennuie voue guête, samedi 17, nous on expose au Forum national des initiatives jeunes ... > De deux choses l'une
Samedi 25 février 2012 à 13:19
Et ça nous avait dit :
"Bougez, bougez,
osez,
voyez,
il y a tout un tas de mondes, pas que le tiens,
pas que le tiens !"
Samedi 25 février 2012 à 13:16
Et l'ordre se désordonne, et rien ne fait plus peur que l'immobilité spirituelle.
Jeudi 26 janvier 2012 à 11:57
Marie says,
"" Le métro boulot dodo ne nous aura pas si facilement, l’horrible bête, nous la voyons c'est déjà un point positif ! "" .
"" Le métro boulot dodo ne nous aura pas si facilement, l’horrible bête, nous la voyons c'est déjà un point positif ! "" .
Lundi 16 janvier 2012 à 23:25
C'est nous qui avons tout compris.
Eux n'ont rien.
J'en suis sûre maintenant.
Lundi 12 septembre 2011 à 11:53
OUvrir l'OEil, et le bon.
Mars 2011 - Petit d'homme.
Muguette - Avril 2011 - AlXMardi 15 mars 2011 à 14:29
Non, cela n'est plus,
je suis réveillé, je le suis entièrement et d'aujourd'hui date ma naissance.
Siddhartha - Hermann Hesse
Vendredi 11 mars 2011 à 0:30
Le lendemain matin - Perrache - Mars 2011I was fuckin' in love with this game. We used to play. C'était comme un samedi après-midi mais ça avait lieu la nuit. On était caps de donner toute notre vie pour ce samedi là. On était prêts à brûler toutes les éventualités pour ce semblant de samedi après-midi. Pour ce jeu de dupes. On avait l'éternelle jeunesse devant nous. On avait les terres éternelles. La place pour dormir au soleil. Les rires épuisants et les larmes solenelles. On jurait de ne tenir qu'à nous. De n'être que ces nuits. Elles nous faisaient naître et rien d'autre n'avait de sens. ça avait l'odeur d'un samedi après-midi. Parce qu'on aurait dû faire nos devoirs. On aurait dû faire ce qu'il fallait. Dans l'ordre. Apprendre puis vivre. ça nous rendait coupables de jouer. C'est comme ça que ça sentait le samedi après-midi. ça avait le goût d'une fraude. On dupait le monde et rien ne pouvait nous arrêter. Notre jeu devenait une insolence. Nous n'étions rien de plus qu'une transgression. Un jeu à l'heure des devoirs. Une comparution immédiate. Nous avions le pouvoir et le monde nous détestait pour ça. Ces nuits nous jouaient bien des tours car nous ne faisions que les attendre. Et les moments qu'il y avait dedans c'était comme du chocolat vollé sous les yeux de la flicaille. Le jeu que nous jouions n'était pas de ce monde là. Il était plus grand que lui. Je le renie autant que je le maudie. Je me shoote à l'image de ce jeu pour ne pas avoir à le revivre. Je garde ces samedis après-midi gravés là tout au fond comme autant de jours heureux. Des petites croix dans la cire d'abeille. Des jeux que l'on ne regrette pas mais dont on est heureux d'avoir échappés. Vivants. Rescapés. Lui et moi. Parce que ça commençait à nous brûler, ces chaînes, juste là, en bas des mollets. On a traversé ces nuits aux faux airs de samedis après-midi dans une immense fronde main dans la main. On a refusé demain. Et puis il nous est tombé dessus. Les samedis étaient finis. Les nuits bien longues. Et froides. Elles en deviennent tellement douces. Sur un air de dimanche matin, long chemin.
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